Après avoir fait l'impasse l'an dernier sur le Pic Nic des Loups suite à la pandémie, c'est avec grand plaisir que les Louviérois ont retrouvé ce dimanche les étangs de Strépy pour une troisième édition ensoleillée mais qui marquait surtout un retour à la vie festive.
Les étangs de Strépy, le soleil, des invités surprises, de la couleur, de la chaleur, tout était présent pour réussir cette troisième édition du Pic-Nic des Loups qui n'a pu avoir lieu l'an dernier.
Laurent Cannizzaro, directeur Centrissime : ''C'est surtout que c'est le premier événement qu'on réorganise depuis plusieurs mois. Ca fait vraiment plaisir de voir que le secteur événementiel est en train de reprendre tout doucement. Pour nous, c'était l'occasion justement de se remettre à l'oeuvre dans le cadre de projets parce qu'il y a des automatismes qu'on avait un perdu . Donc ça fait du bien avant les gros événements qui vont arriver cet été.''
Aux côtés des pêcheurs, un stand zéro déchet et la promotion du réseau vélo, des animations limitées étant donné le protocole encore assez strict. Mais peu importe, rien que le fait de se retrouver était unique notamment pour les différentes sociétés carnavalesques qui s'occupaient du bar et barbecue.
Virginie Pilette, présidente Amicale des Sociétés Carnavalesques de Bracquegnies : "Oui, c'est notre premier activité depuis deux ans et donc effectivement, ça fait une belle bouffée d'oxygène . Ca fait plaisir de se retrouver ensemble déjà et de revoir du monde aussi".Rires, discussions, retrouvailles, voilà comment résumer ce Pic-Nic des Loups qui fait du bien au moral.
"J'ai rejoint des amis de longue date et on profite du bon moment pour prendre un bon verre". "Ca se passe très bien, on profite du bon temps. C'est l'occasion de se réunir, c'est vraiment chouette." "Là, on en profite, on sort. Et le petit apéro improvisé en dernière minute, c'est sympa !". "Je pense que ça manque à tout le monde". Ca fait du bien de se réunir, de boire un verre ensemble. C'est magnifique tout ça, il faut, il faut, pour vivre."
C. Debue