Le C.O. Trivières a à peine plus de 10 ans et depuis sa création, son évolution est remarquable. Le petit club né sous l’impulsion d’une poignée d’amis a bien grandi !
Mus Tahmaz Fondateur du club : « A trois, on entraînait toutes les équipes et aujourd’hui voir plus de 200 jeunes et ce que le club est devenu, c’est fantastique ! »
Au C.O. Trivières, on a choisi de placer la formation au centre du projet. On parle d’ailleurs plutôt de formateurs que d’entraîneurs. La progression tout comme le développement personnel des jeunes sont essentiels. L’ancien directeur technique aujourd’hui T2 de l’équipe première et en charge des U13 ainsi son successeur font en sorte que la philosophie du club soit appliquée dès les plus petites catégories.
Fabrizio Cremona Directeur Technique C.O. Trivières : « On a une quinzaine d’équipes pour les différentes catégories. J’aime bien collaborer et avoir l’avis de tout le monde : les formateurs, les joueurs mais aussi les parents. »
Damien Cavallo Formateur U13 et T2 équipe première : « Je suis plutôt dans la politique de former un enfant. Ce qu’il faut c’est apprendre avant tout. Si on gagne tant mieux mais ce n’est pas le plus important. »
Si par le passé, le C.O. Trivières a parfois véhiculé une image moins positive, aujourd’hui le respect des valeurs est pris très au sérieux. Le club respire aujourd’hui la sérénité et se présente comme une grande famille au sein de laquelle l’épanouissement est un leitmotiv. Et visiblement, c’est bien le cas.
Kevin Thorout Formateur U8 : « On les forme bien ici ! On veut qu’ils apprennent en s’amusant mais avec du respect ! C’est la philosophie du club et c’est très bien. »
Grâce à l’aide de ville au niveau des infrastructures, le C.O. Trivières parvient à gérer ses 200 jeunes mais il est temps de passer un nouveau pallier et pour ce faire la nécessité de disposer de nouveaux outils plus performants est bien réelle. Cela ne pourra se faire qu’avec l’appui des pouvoirs politiques.
Fabrizio Cremona : « On est un en retard par rapport aux clubs de la région qui ont un terrain synthétique. Donc, pour passer un cap, on doit se munir d’un synthétique. On passe un appel à la ville. »
G. Brunin