Après la grève de lundi, comme chaque mercredi depuis le début du mois, les négociations se sont poursuivies entre la direction et le front commun syndical.
Il s’agit toujours de voir comment éviter –ou aménager- la perte de 40 équivalents temps pleins annoncée sur le site de Jolimont par le groupe hospitalier confronté à un déficit de 30 millions d’euros.
Les syndicats espèrent toujours obtenir un maximum de reclassements internes et négocier les conditions des départs volontaires, des aménagements de fin de carrière ou des pensions anticipées.
Les représentants du personnel attendent des propositions claires et des chiffres précis sur les licenciements secs (« inévitables », maintient la direction).
Les deux parties ont convenu de tenir une réunion « au finish » mardi prochain.